Traitement institutionnel des violences sexuelles : postures et regards croisés

En France, la fin de l’année 2024 a été marquée par le procès Pélicot, ouvert en septembre 2024. Ce procès résonne en France et au niveau international, d’abord par son ampleur, avec 51 accusés, et par les faits, une série de viols aggravés sur la personne de Gisèle Pélicot, droguée par son mari pendant des années. Procès qualifié de sans précédent par son ampleur et sa visibilité médiatique, il a une portée politique importante car il se fait l’écho d’autres affaires de violences sexuelles, notamment en France, qui restent dans l’ombre (Médiapart, 2024). Ce procès reflète le rapport de la société aux violences sexuelles et a, au moins dans les médias, ouvert une discussion sur la culture du viol et la domination masculine, ces dernières étant intrinsèquement liées à la violence dans le cadre intime et ce dans tous les milieux sociaux (Delage, 2020)...

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Les propositions de communication de 300 à 500 mots maximum (5 références bibliographiques incluses), au format PDF, doivent être envoyées à :

• Manon Bouyé <manon.bouye@univ-lyon3.fr> et
• Margaux Guillerit <guillerm@parisnanterre.fr>

Dates clés :

Soumission : 14 mars 2025
Notification d’acceptation : 30 mars 2025
Inscriptions : avril 2025
Journée d’étude : 27 juin 2025

Langues :

Anglais ou français